AFC 12.11.2017

Afc 2017L’Association Familiale Catholique de Polynésie française
Association reconnue d’intérêt général Association de consommateurs

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AG AFC du samedi 3 février 2018 : Présence d’une équipe nationale AFC

Le président de la Confédération nationale des AFC, Jean-Marie Andrès, son épouse et le responsable national des AFC d’Outre-mer Jean-Joseph Bodet seront présents à notre prochaine AG qui aura lieu le samedi 3 février 2018.

Leur séjour d’une semaine en Polynésie du 29 janvier au 5 février sera chargé en visites protocolaires, mais le but principal étant de rencontrer les familles adhérentes de notre AFC.  

Entre les visites protocolaires avec Mgr Jean-Pierre Cottanceau, et les autorités officielles du Pays (président ministre de la Famille, haut-commissaire), le président national Jean-Marie Andrès donnera une conférence sur un thème en relation avec la famille, et le responsable Outre-mer tiendra une formation Cap Famille pour toute personne désirant s’engager à l’AFC.

Les membres du bureau AFC se réjouissent de cette prochaine visite du président national et de l’intérêt porté à notre mouvement local. Ils se mobilisent  pour que la prochaine Assemblée Générale soit une rencontre joyeuse et fructueuse avec nos familles adhérentes.

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Lancement de la campagne « arrêtons la casse »

Les AFC ont lancé une grande campagne « Arrêtons la casse » !

Cette campagne est une véritable initiative citoyenne portée par les AFC pour sensibiliser les français et le politique à la face cachée du divorce en France : inégalités, précarité, coûts financiers, psychologiques, judiciaires, humains...  à partir de statistiques, données chiffrées, témoignages... (à voir le site Internet « arretonslacasse »).

Fidèle à la mission des AFC et à leur action, cette campagne  ne se contente pas de dénoncer, mais propose aussi des mesures originales et concrètes pour réduire les facteurs extérieurs qui provoquent la séparation des couples pour agir au niveau des politiques et des acteurs sociaux. 

Ainsi, le président de la CNAFC Jean-Marie Andrès a publié une tribune dans La Croix, et  Aleteia s’est également impliqué dans cette campagne, ainsi que de grands influenceurs comme Koz

Cette campagne aura du poids et deviendra un levier réel d’action et de changement essentiellement dans la mesure où vous vous en ferez les ambassadeurs actifs. Nous comptons sur vous ! Il est encore temps de devenir ambassadeurs et acteurs. Déjà plus de 3 000 personnes ont déjà interpellé leurs élus pour faire diminuer le nombre de divorces. Cette campagne doit donc susciter l’engagement de chacun d’entre nous

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Les dérapages non contrôlés de la PMA

Extrait d’un article - Le Point du 9 novembre 2017 par Jean-François Bouvet

Le 20 septembre, la revue Nature publiait une étude de Francis Crick Institute de Londres sur la modification génétique de plusieurs dizaines d’embryons humains. Il s’agissait d’embryons surnuméraires conçus par fécondation in vitro (FIV) et cédés à la recherche parce que non utilisés dans le cadre d’une procréation médicale assistée (PMA). Cette manipulation génétique a-t-elle suscité des réactions ? Non, si ce n’est quelques lignes ici ou là. La banalisation de la modification génétique de l’embryon est en marche, et la multiplication des expérimentations fait office de légitimation larvée.

… Si, dans la plupart des cas, le but est de corriger un gène défectueux, la récente étude de Francis Crick Institute est d’une tout autre nature. ... Donc, pour résumer, après avoir inventé la FIV il y a une quarantaine d’années, on « bricole » génétiquement des embryons obtenus par cette technique en vue d’optimiser les étapes suivantes.

… Le 12 septembre, la secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa, confirmait l’intention du gouvernement de proposer une extension de la PMA aux couples lesbiens et aux femmes célibataires. Cette déclaration n’a pas manqué de relancer le débat sur les enjeux éthiques de la PMA.

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Comité des droits de l’homme à l’ONU : une « offensive pro-avortement »

1er et 2 novembre 2017 : Le Comité des droits de l’homme des Nations Unies est en passe d’imposer la légalisation universelle de l’avortement au nom même du droit à la vie.

Ce comité d’experts, chargé de veiller au respect du Pacte international sur les droits civils et politiques de 1966, doit rédiger son interprétation officielle du droit à la vie.

Plusieurs de ses membres (dont un français, une américaine et un tunisien) ont saisi l’occasion pour promouvoir un droit à l’avortement le plus étendu possible. Seule l’experte allemande, Mme Anja Seibert-Fohr, a tenté, en vain, d’obtenir la reconnaissance de « l’intérêt légitime des États à protéger la vie du fœtus », pourtant établi par la Cour européenne.

À aucun moment le caractère moral de l’avortement ne fut questionné, les droits des enfants évoqués. Pour les membres du Comité, l’enfant n’existe pas avant sa naissance, donc il serait vain d’évoquer ses droits et intérêts.

Le français M. de Frouville recommanda d’éviter toute « considération philosophique ou théorique » et de se concentrer exclusivement sur les droits des femmes en allant jusqu’à affirmer que la décriminalisation de l’avortement « est au cœur de la question du droit à la vie » !  

Une idéologie mortifère et un complet renversement moral par rapport au sens du droit à la vie.

La discussion sur ce projet se poursuivra le 10 novembre puis en mars 2018 ; il y sera aussi question du suicide assisté et de l’euthanasie dont le Comité envisage également d’imposer l’acceptation au titre du droit à la vie.